Cette semaine dans un de mes articles je fustigeais nos hommes politiques que j’appelle pouriticards en disant qu’on avait les hommes politiques LES PLUS CONS DU MONDE loin de me dédire il me faut quand même apporter une précision : Parmi ces cons il y a les TRES CONS (comme disait Coluche on peut toujours trouver plus con !) et ces TRES CONS et en plus extrêmement dangereux ce sont les verts !
Parmi eux le nouvel adjoint à la mairie de Paris qui veut faire reculer l’automobile au sein de la ville de Paris au profit des piétons et des cyclistes….et qui veut que les Parisiens choisissent les transports en commun plutôt que la voiture de façon à ce que ceux-ci meurent égorgés plutôt que soit disant pollués ce crétin fait en ce sens plaisir à sa ministre Barbara Pompili la connasse qu’ils ont mis à l’écologie et qui elle aussi veut supprimer la voiture les centrales nucléaires ,les parasols chauffants sur les terrasses des bistrots et qui veut débloquer 21 millions d’euros sur le compte des contribuables pour apprendre aux gamins à rouler sur un vélo!
La voiture ce merveilleux moyen d’évasion que la majorité des Français adore et qu’on veut leur supprimer alors que plus d’un Français sur deux travaille directement ou indirectement pour l’automobile mais ça reste le cadet de leur soucis car les connards verts pensent d’abord à détruire alors selon leurs humeurs c’est une fois les avions, une fois l’industrie mais souvent la voiture car c’est bien plus facile de taper sur les automobilistes en effet chaque foyer possède deux voir trois voitures par conséquent il est aisé de taper sur eux par le biais d’amendes, d’interdiction et de taxes complètement injustifiées !
Alors pourquoi la voiture ? Simplement par ce que la voiture est la soi-disant première cause de pollution de l’air qui a pour conséquences le soi-disant réchauffement climatique à noter que nous vivons le mois de Mai le plus froid de la période 1981/2010 avec un recul des températures de 2° et un excédent des précipitations de l’ordre de 50% ce qui démontre bien que le réchauffement de la terre n’existe que dans les cerveaux verts il y a TOUJOURS eu depuis que la terre existe des périodes glaciaires et des périodes caniculaires sans pour autant que la pollution ou la main de l’homme n’y soit pour grand-chose !
Comme tout le monde vous avez vu les panneaux sur les périphériques vous enjoignant à limiter votre vitesse à cause de la pollution comment sont définies ces normes anti-pollution ?
Les 36 219 communes françaises sont tout d’abord réparties en quatre catégories :
Communes rurales (29 008)
Communes de 2 000 à 20 000 habitants (3 847)
Communes de 20 000 à 100 000 habitants (1 597)
Communes appartenant à des zones urbaines de plus de 100 000 habitants (2026).
Au sein de chacune de ces quatre catégories, les communes sont classées en fonction de la concentration en particules « PM 2,5 » donnée par le modèle « Gazel Air ».
Le taux de 4,9µg/m3 retenu comme valeur cible dans l’hypothèse de base de Santé Publique France est celui des 5 % des communes rurales où la concentration est la plus faible.
Il s’agit évidemment d’un choix arbitraire, mais l’essentiel n’est pas là. Un coup d’œil sur une carte montre que toutes les communes concernées sont situées en montagne, à une altitude moyenne de 2 000 mètres (cf. carte jointe). On aurait pu s’attendre à ce que les communes les moins polluées soient situées en bordure de mer sur l’ouest du territoire national qui est balayé par les vents provenant de l’Atlantique, mais il faut se rendre à l’évidence : dans la situation actuelle de la France, les concentrations de particules sont avant tout liées à l’altitude.
Fixer comme objectif à l’ensemble des communes françaises, dont l’altitude moyenne est inférieure à 300 mètres, de respecter la teneur en particules des communes situées à 2 000 mètres d’altitude est donc dépourvu de sens.
Depuis 2009, les véhicules diesel mis sur le marché émettent donc, avec 0,5 gramme aux 100 kilomètres parcourus, 28 fois moins de particules que ceux de la norme Euro1, qui étaient déjà bien moins polluants que leurs prédécesseurs. En pratique, ils n’émettent presque plus rien. D’ailleurs, depuis 2009, les normes imposées sont les mêmes que pour les véhicules à essence, et il est donc possible de considérer que le problème est en pratique réglé.
Normes d’émission des particules (voitures à essence)
Du fait des normes en vigueur depuis 2009 tant pour les véhicules diesel qu’essence, le taux des particules « PM 2,5 » dans l’atmosphère est passé en Ile-de-France de 21 µg/m3 en 2007 à 12µg/m3 en 2017, soit une chute de 9µg/m3, c’est-à-dire de près de moitié !
Toutes les estimations de l’étude de Santé Publique France qui reposent sur les concentrations enregistrées en 2007 et 2008 n’ont donc plus la moindre valeur aujourd’hui.
La chute brutale des concentrations des particules fines dans l’air de nos grandes villes était parfaitement connue au moment de la parution de l’étude de Santé Publique France en 2016. On est conduit à se demander qui supervise ceux qui en sont les auteurs, et qui continue à cautionner près de trois ans plus tard des affirmations erronées dès l’origine, si la réponse n’était claire : sans doute personne.
Mais la chute brutale de concentrations atmosphériques enregistrée en Ile-de-France appelle un autre constat, fondamental quant à lui.
L’étude de Santé Publique France relève en effet qu’en 2007 – 2008, les concentrations moyennes en « PM 2,5 » étaient les suivantes :
Communes rurales : 9,9 µg/m3
2000 – 20 000 habitants : 10 µg/m3
20 000 – 100 000 habitants : 10,9 µg/m3
Zones urbaines > 100 000 habitants : 13,6 µg/m3
Cette énumération met tout d’abord en évidence qu’il n’y avait pratiquement pas de différence en 2007 entre les communes rurales et celles qui comptent jusqu’à 100 000 habitants : la taille de la commune n’intervient pratiquement pas et le taux moyen y est partout voisin de 10 microgrammes par mètre cube.
Seules faisaient exception il y a 12 ans, avec un taux moyen de 13,6 microgrammes par mètre cube, les communes des zones urbaines de plus de 100 000 habitants du fait du poids de l’Ile-de-France et de la concentration de 21 microgrammes qui y était alors constatée.
Mais la chute brutale des concentrations enregistrée depuis 2007 en Ile-de-France comme dans les autres zones urbaines de plus de 100 000 habitants a une autre conséquence : le taux moyen dans les zones urbaines a pratiquement désormais rejoint celui du reste du territoire. En 2019, il n’y a plus de différence notable entre la ville et la campagne quant à ce type de pollution : l’air est pratiquement aussi pur partout, à un niveau tel que les progrès ne peuvent plus être que marginaux sinon insignifiants les concentrations résiduelles étant désormais essentiellement d’origine naturelle.
Pour prendre conscience de la qualité de l’air ambiant actuel, quelques comparaisons ne sont pas inutiles, dans le temps comme dans l’espace.
Dans le temps
Sauf les plus anciens d’entre nous, nous avons oublié ce qu’était l’air de nos villes il y a quelques décennies seulement. Pour le savoir, il suffit de se référer à l’évolution des « fumées noires » dans le temps, telle qu’elle est retranscrite par les relevés effectués depuis plus d’un demi-siècle année après année à Paris, extrait du Bilan annuel publié par Airparif pour 2017. Comme le relève ce dernier : « Depuis la fin des années 1950, les niveaux moyens des fumées noires ont quasiment été divisés par 20 à Paris ; cette très forte amélioration est due à la baisse importante des suies issues de la combustion du charbon, puis à l’amélioration des procédés de combustion et de traitement des échappements automobiles. Les teneurs de 2009 à 2017 sont les plus faibles jamais enregistrées… ».
Il faut savoir que les « fumées noires » sont le constituant majeur des particules fines « PM 2,5 », et que la concentration dans l’air de ces dernières est donc toujours supérieure à celle des fumées noires. Le résultat laisse sans voix. A la fin des années 1950, le taux des « PM 2,5 » dans l’air que respiraient les Parisiens avoisinait au moins 200, contre 12 aujourd’hui !
La comparaison des concentrations de « PM 2,5 » sur les différentes parties de la planète, telles qu’elles sont relevées par l’OMS, est tout aussi stupéfiante.
Ce n’est pas dans les pays développés qu’elle est aujourd’hui la plus importante. Bien au contraire ceux-ci les ont maîtrisées, ailleurs comme en France. C’est dans les zones désertiques où n’existent pas d’activités humaines qu’elles sont extrêmement élevées. En l’absence de végétation, rien ne s’y oppose à leur dispersion dans l’atmosphère sous l’influence du vent et ceci d’abord pour les particules les plus fines, et notamment les « PM 2,5 » C’est donc au milieu du Sahara et des autres zones désertiques du monde que leur concentration est aujourd’hui la plus élevée, ainsi par conséquence que dans les villes qui les voisinent, telles que Le Caire ou Riyad où la concentration moyenne annuelle des « PM 2,5 » atteint 108 microgrammes par mètre cube contre 12 à Paris sans que le diesel y soit évidemment pour quelque chose ! C’est le fameux « Adjadj », brouillard de sable et de pollution qui assombrit le ciel et plombe si souvent l’air du Sahel.
Et il ne faudrait pas croire que les particules du désert aient une influence potentielle différente des nôtres. Selon le Centre International du Cancer (CIRC), émanation compétente de l’OMS : « Les recommandations de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et des réglementations nationales considèrent que les particules fines ont toutes la même toxicité, malgré le grand nombre de sources et de compositions chimiques » (Communiqué du 25 juin 2018).
Qu’il s’agisse des comparaisons dans le temps ou dans l’espace, une conclusion s’impose : les concentrations de particules fines enregistrées dans l’air des villes des pays développés, y compris la France et sa capitale, sont désormais extrêmement faibles et guère différentes de celles qui règnent dans les campagnes qui les entourent. Elles sont dix à vingt fois plus faibles que ce qu’elles étaient autrefois et ce qu’elles sont encore ailleurs sur la planète, et une conclusion s’impose : la crainte qu’elles suscitent n’a plus de raison d’être et l’estimation de 48 000 décès par an n’a pas de crédibilité.
Au-delà de la hiérarchie de « Santé Publique France », il se trouve en outre de multiples responsables administratifs et politiques plus haut placés qui ne se sont pas interrogés un instant sur la plausibilité du rapport et lui ont au contraire donné la plus large publicité, contribuant ainsi à convaincre nos concitoyens de la nocivité d’un air pourtant devenu pur ou presque, et au-delà, du caractère néfaste du monde dans lequel ils vivent.
L’origine des gaz à effets de serre provient à 54% du secteur de l’industrie,construction,déchets et énergie à 20% pour les transports,train,camion,avion et automobile dont on peut supposer que l’automobile n’intervient qu’à hauteur de 3% de ces 20%,20% du résidentiel tertiaire et 6% des sources naturelles et agricoles.
Ce sont pourtant des milliers de personnes qui œuvrent au sein des organismes publics consacrés à l’environnement et que paye le contribuable, car « Santé Publique France » n’est pas seul en cause. L’Ademe, Airparif, les multiples services et départements du Ministère en charge de l’environnement, tous désinforment à grande échelle sans jamais être contredits par les responsables administratifs et politiques dont ils dépendent, trop heureux qu’ils sont de trouver des confirmations à leur vision négative du monde.
Donc comme démontré ci-dessus l’air en France n’a jamais été aussi pur alors qu’il n’y a jamais eu autant de voitures mais c’est pourtant la voiture la cible principale des abrutis en costume vert rassurez vous eux continuent à de déplacer en avion, en voiture et au besoin en hélicoptères en effet la Pompili n’a pas hésité d’aller en avion visiter dans un 4X4 une réserve de Rhinocéros, Hulot possède 9 véhicules et deux bateaux avec des moteurs hors-bord de plus de 200CV bref comme d’habitude faites comme je dis pas comme je fais !
Alors pourquoi s’en prendre à la voiture ne serait ce pas tout simplement pour nous enfermer comme ils cherchent à nous enfermer avec leur connerie de Covid et leur vaccin assassin ? Ou tout simplement pour nous tester afin de mesurer le degré de soumission du peuple Français face à leur dictature pour nous empêcher de vivre selon notre bon vouloir.
En tous cas j’espère que les Français se révolteront face à ces enmerdeurs donneurs de leçons qui veulent nous contraindre à ne plus aller au restaurant, au spectacle, aux matchs de foot,à ne plus pouvoir aller en voiture à la campagne et a ne rouler qu’un jour sur deux au profit de théories qui n’existent que pour faire peur à la population basées sur des chiffres absolument faux débouchant sur des conclusions tout aussi erronées.
COMME DISAIT POMPIDOU ARRETEZ D’ENMERDER LES FRANÇAIS AVEC VOS LOIS INUTILES et je rajouterais LAISSEZ VIVRE LES FRANÇAIS COMME ILS VEULENT ET AVEC QUI ILS VEULENT SELON LEUR COUTUMES ET LEURS USAGES !
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